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Costumes de "Lavradeira Minhota"	Costumes de "Lavradeira Minhota"				Costumes de "Lavradeira Minhota"
Le costume le plus typique de la région du Bas Minho: costume de « Lavradeira », une vraie ethnographie surtout à Guimarães, Fafe, Cabeceiras de Bastos, Amares, Povoa de Lanhoso et dans les autres villes du Bas Minho. Le costumes de « Lavradeira Minhota » est le plus représentatif du Bas Minho.

Costumes de "Lavradeira Minhota"	Costumes de "Lavradeira Minhota"				Costumes de "Lavradeira Minhota"




Costume de "Lavradeira" La « Lavradeira Minhota », avait une certaine fierté a harmonisé ses vêtements, pour avoir une belle apparence. Son costume était composé de plusieurs éléments, cependant seule la couleur du foulard diversifiait, vert, bleu, jaune, rouge, blanc, violet comme le lis ou noir avec des rameaux rouges. Ainsi, elle montrait un beau costumes dont les couleurs étaient harmonieuses.


La femme fortunée du village, s’habillait élégamment. Femme avec des possibilités économiques avantageuses, elle avait habituellement sa propre couturière qui lui confectionnait ses vêtements. Ainsi était la femme fortunée du village			La Femme Fortuné du Village
- Robe en étoffe brodée en verroterie de grande circonférence avec une barre de velours autour - Tablier en velours avec la couronne royale brodée en verroterie avec en bas une barre en peluche noir - Gilet en lin brodé (lin fabriqué maisons) - Chemise en lin brodé avec manchettes et poignets en dentelle (lin fabriqué maisons) - Foulard sur la tête - Foulard avec des touffes de laine cousues à la main, croisé sur le dos et devant tombant jusqu’à la ceinture - Châle au bras gauche pour la fraîcheur de la soirée. - Mules noires vernies et chaussettes blanches en crochet dentelle.

			Nos ancêtres utilisaient l'eau de source pour toutes les taches quotidiennes d'alimentation et l'hygiène, à cette époque il n’y avait pas d’eau à l’intérieur des maisons. Les gens allaient chercher l’eau de sources dans des cruches, c’était un lieu de rencontre où on revenait plusieurs fois dans la journée. A coté ce trouve un abreuvoir ou les animaux domestiques venaient boire après le travail. Les fontaines d’eau de sources régnaient sur tout être vivant lui passant devant, mais les années passant ce règne disparaissait au profit de la mise en place de l’eau courant dans les maisons. Ainsi s’acheva le règne des eaux de sources.
Lavradeira avec une cruche


Fontaine			Fontaine de Saint Benoit (Pedraído Fafe)


La Femme du Marché (Variente)		La Femme du Marché (Variente)		La Femme du Marché (Variente)

Il existait plusieurs type de femmes du marché , il y avait la grande commerçante qui vendait en grande quantité, et il y avait celle qui allait au marché seulement pour voir la marchandise parce qu’elle avait l’intention de vendre ou d’acheter. Et pour ne pas ce tromper, elle espionnait le marché et en même temps, elle emmenait sous son bras un petit panier pour vendre une douzaine d’œufs ou quelques haricots, en échange de quelques escudos. Mais, elle est plutôt venue au marché pour espionner les négoces pour son futur commerce. Elle s’habillait de façon élégante, et légèrement charger.


La Femme qui déracine le Lin		La Femme qui déracine le Lin		La Femme qui déracine le Lin

Le lin était une besogne difficile du travail du champ, mais par la bonne volonté et l'amour du lin, tout serait fait avec joie en chantant et en dansant comme pour le déracinage de celui-ci. À la fin, montrant qui câlinaient le lin, ils restaient en dansant jusqu'à très tard, attendant la prochaine occasion comme l'effeuillage, pour ne pas oublier la joie que le lin leurs donnaient. "La joie du lin"


La Dévideuse		La Dévideuse		La Dévideuse
Comme le lin, qui donne tant et tant de tour, le dévidoir en faisait autant. Lors des veillées les dévideuses le passaient et repassaient. Les femmes fabriquaient le tissage et ensuite le blanchissaient afin de servir à la fabrication du linge de maison, tenue pour leur mariage ou pour d’autre occasion.