Histoire des danses les plus caractéristiques de la ville de Fafe,
présentées par le groupe lors de ses représentations.
A Desgarrada |
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Un chant populaire du bas Minho : un convive entre peuple .
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Malhão de Roda | |
Danse exécuter dans les villages les plus montagneuse de Fafe, la ou on attendait les plus belles voix de la région de Fafe.
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Vira de Cruz |
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Une danse à quatre, chanté et dansé delicatement, ou la voix de la chanteuse et du chanteur montent trés haut. Cette danses est une carte d’identité pour la region de Fafe partout ou elle passe.
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Dobadoira | |
Une danse dedié au long et difficile travaille du lin. Sa chorégraphie nous rappelle les mouvements de certains ustensils utilizés à ça confection.
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Margarida Moleira | |
Danses en hommage aux meuniers et leurs
moulins a farine. Cette danse en cercle était dansée d’une manière riche en
élégance, et avec une douceur adéquate à tous les âges. |
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Vira dos Felizardos | |
Notre histoire est pleine de trésors et de richesses du peuple de nos terres, ainsi, comme le "Vira dos Felizardos", une des danses la plus historique de nos ancêtres.
Dans les années 40 à 50, dans un petit village montagneux du nord des terres
de Fafe, un groupe d'hommes et de femmes se dédiait aux vols et semait la
terreur. Par leurs actions les dits "Felizardos" ont donné Les plus âgés de ce village racontent que pour voler des poules les "Felizardos" attachaient à une ficelle une graine de blé. D'autres en groupe dans les fêtes et les foires, dans la plus grande confusion, pendant que certains dansaient d'autres volaient, et c'est de là qu'est apparue la danse appelée "O Vira dos Felizardos"
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Verdegar Velho | |
Jadis à Fafe, il y avait beaucoup de rivalité entre les hommes des différents villages, dans les fêtes de village ou fêtes foraines bien souvent étaient installés les « bombo », c’était une espèce de balançoire constitué d'un morceau de bois et deux branches d'arbre parallèle. Là, les jeunes hommes plus agiles et fort emmenaient les jeunes filles à la balançoire, ils montraient leurs forces et agilités en allant le plus haut possible et même et faisant un tour complet sur la balançoire. Bien sûr, les problèmes arrivaient, parce qu'il y avait toujours deux hommes qui convoitaient la même jeune fille, le problème était difficile à résoudre, il en serait pas moins résolu à coup de bâtons. Une ronde se forme, d'autres arrivent armés de leurs bâtons, deux camps se forment, d'autres profitent de l'occasion pour régler leurs comptes, d'autres plus malins s'acharnent pour séparer les ennemis. Après tout ce remue-ménage un des deux combattant en sortait renforcé dans l'art de manier le bâton, le vainqueur avait le droit de partir avec la jeune fille, ceci jusqu'à la prochaine occasion.
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